Activité physique adaptée à distance : quels effets cliniques et cérébraux ?

Publié par UNICAEN Normandie, le 22 juillet 2019   1.1k

L’activité physique adaptée a-t-elle des effets bénéfiques sur l’apprentissage et la mémoire chez les patients souffrant de troubles psychotiques ? C’est ce que cherche à démontrer l’équipe du professeur Sonia Dollfus (ISTS · EA 7466). Les études préliminaires indiquent les multiples bienfaits d’une activité physique adaptée, qu’elle soit liée aux tâches quotidiennes, au travail, aux loisirs et au sport : une plus grande capacité à agir, à entreprendre, à se concentrer et à se souvenir, une amélioration de l’estime de soi, du bien-être et des rythmes veille-sommeil, une réduction des facteurs de risque cardiovasculaire. Cette étude vise donc à en évaluer les effets.

Un appel à volontaires sains est lancé afin de constituer un groupe suivant une activité physique adaptée. L’originalité de ce projet consiste en un accompagnement par des professionnels à distance, en visio-conférence. Afin de comparer les effets, un groupe contrôle de sujets sains suivant un programme d’éducation à la santé sera également constitué.

Pour participer à cette étude, vous devez être âgé entre 18 et 60 ans. Un entretien préalable sera effectué. Une indemnisation de 250 euros est prévue pour les participants.

 Cette étude est menée au CHU de Caen Normandie en collaboration avec COMETE, Bodycap et Vasi, et cofinancée par l’Union européenne, la Région Normandie (FEDER/FSE 2014-2020)

Pour en savoir plus

Renseignements : Centre de recherche clinique · CHU de Caen Normandie · 02 31 06 43 88 / Centre Cyceron · 02 31 47 01 57